Bien que le marché du gaz soit plus ouvert, les alternatives réelles pour les consommateurs sont encore trop rares, surtout parce que le marché est extrêmement complexe à équilibrer, parce que l’accès aux installations de stockage reste difficile et parce que la politique gazière globale n’est pas assez orientée vers le marché.

Ce sont quelques raisons pour lesquelles AFIEG travaille à promouvoir une concurrence ouverte et équitable sur les marchés de l’énergie explique le site http://www.electricite-saintetienne.com, et, à cet égard, partagera son expertise indépendante sur les questions énergétiques en France, basée sur l’expérience de ses membres des marchés ouverts ailleurs en Europe.

L’approvisionnement énergétique mondial

La France utilise environ :

• 2,5% de l’approvisionnement énergétique mondial et importe près de la moitié de ses besoins énergétiques,
• pour une population de près de 66 millions d’habitants, soit 1% du total mondial.

Les conflits du 20ème siècle ont mis en relief la vulnérabilité du pays.

L’une des conséquences est que l’État français a joué un rôle décisif dans la gestion de l’énergie pendant les deux guerres mondiales, en entreprenant une vague de nationalisations dans la période post-Libération. Plus tard, la première crise pétrolière de 1973 a incité la France à se lancer dans un vaste programme nucléaire pour assurer son indépendance énergétique.

Mais le capital financier et humain investi dans de tels programmes a éloigné le développement des énergies renouvelables, à l’exception de l’hydroélectricité qui s’est développée très tôt.